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Vous avez besoin de suivre les temps de travail de vos collaborateurs ? D'historiser de manière fiable leurs horaires d'arrivée et de départ ? Si oui, vous vous interrogez sûrement sur les mérites de la pointeuse badgeuse.
Pour vous aider dans votre choix, voici tout ce que vous devez savoir avant de vous lancer !
Parler de pointeuse badgeuse, c'est désigner une solution de pointage horaire capable de décompter le temps de travail des employés de l'entreprise. Il peut s'agir d’un modèle mécanique, numérique ou de système de badgeage virtuel.
À noter : le système de pointage biométrique (reconnaissance faciale ou par empreinte digitale) n'est, à ce jour, pas autorisé par la législation française.
Le système de pointage par badgeuse numérique comprend trois éléments.
Le système de pointage virtuel permet d'utiliser un ordinateur, un smartphone ou une tablette pour enregistrer l'horaire de prise de poste et l'horaire de départ des employés. Via un logiciel de pointage en ligne, cette solution facilite la gestion du temps de travail et optimise la gestion des heures supplémentaires, des RTT et des congés.
C'est par exemple le cas de la solution Eurécia :
La mise en place d’un tel système produit un certain nombre d'obligations pour l'entreprise. Nous les regardons en détail.
Conformément au Code du travail, le système de pointage choisi par l'entreprise doit respecter trois règles essentielles.
Depuis l’entrée en vigueur du Règlement pour la Protection des Données Personnelles (RGPD), la mise en service d'une pointeuse badgeuse n'exige plus de déclaration auprès de la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés). Désormais, le fichier relatif aux données des employés doit être inscrit au registre des traitements de l’entreprise.
Avant de mettre en place ce type de système, l'entreprise doit suivre un certain nombre d'étapes. En commençant par une analyse d'impact relative à la protection des données (AIPD). Cette étude permet d'élaborer un traitement conforme au RGPD et respectueux des droits et libertés des salariés.
Dans certains cas, la désignation d'un délégué à la protection des données (DPO) est conseillée.
L’installation d'une solution de pointage par badgeuse pointeuse doit être précédée par la consultation du CSE (article L 2312-8 du Code du travail). Sa mise en service doit également être portée à la connaissance des salariés concernés.
bon à savoir
Conformément au respect des données personnelles, les pointeuses badgeuses utilisant un système biométrique (empreinte digitale, reconnaissance faciale, etc.) ne sont pas autorisées en France.
Les données de pointage relatives au contrôle d’accès doivent être effacées dans un délai de trois mois suivant leur enregistrement.
Ce délai est porté à cinq ans pour les données de pointage utilisées pour la gestion du temps de travail (horaires d'entrée et de sortie, temps de présence, absences…).
Ces données de pointage peuvent être réclamées par les salariés. Elles se révèlent également nécessaires en cas de contrôle de l'inspection du travail, de l'URSAAF, etc.
Le budget à prévoir pour l'achat d'une pointeuse badgeuse horaire varie entre 200 euros pour un modèle mécanique (produit d'entrée de gamme) à 2 500 pour les gammes mobiles de dernière génération. Le prix d'un modèle numérique (avec lecteur de badge RFID) oscille généralement entre 300 euros et 800 euros.
Généralement, les prix pour les systèmes de pointage varient en fonction des données suivantes :
Alors, prêt à découvrir les avantages d'un logiciel de pointage en ligne ? Vous pouvez vous lancer dès maintenant grâce à notre essai gratuit de 30 jours et gérer les horaires de vos salariés en quelques clics !